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FCC-Servette : Pascal Oppliger : « Il n’y a pas besoin de motiver davantage les joueurs »

L’entraîneur du FCC Pascal Oppliger estime que les joueurs apprendront individuellement

L’entraîneur du FCC Pascal Oppliger estime que son équipe a encore une marge de progression et que les joueurs vont beaucoup apprendre de la confrontation face au Servette.

Face à Chênois, cela a été une belle victoire entre le nombre de buts marqués et le clean sheet. Y a-t-il une pleine satisfaction ?

C’est une très belle victoire avec des actions qui se terminent par des buts. On a fait un match très solide. On ne prend pas de buts. On concède très peu d’occasions. Cela nous permet d’être en confiance et de repartir de l’avant. C’était un match complet. Il faut peut-être aussi relativiser l’adversaire. Ce n’était pas un grand Chênois grâce à nous. Ils avaient un jeu qui nous a bien aidés parce que c’est une équipe qui jouait au ballon et qui prenait des risques. On a pu développer notre jeu de transition. C’est ce qui nous a permis d’avoir ces opportunités de but. On aurait pu mettre deux ou trois buts supplémentaires.

Est-ce qu’on a vu le vrai visage du FCC avec une équipe à maturité ?

C’est trop tôt dans la saison pour le dire. Il y a des progrès qui se font. Je pense qu’il faut continuer de travailler pour amener ces progrès encore plus hauts. Il y a un potentiel dans cette équipe. C’est vrai que des résultats positifs comme samedi nous donnent encore plus confiance.

Est-ce que vous auriez pensé gagner aussi largement contre Chênois ?

Il y a des résultats qui ne s’expliquent pas. Il peut y avoir un match où c’est serré et puis on marque un but à la 55ème minute. L’équipe s’effondre et on peut aussi gagner 4-0 en un quart d’heure. On peut aussi gagner 3-0 après un quart d’heure et puis au final faire 3-3 ou perdre 4-3. Moi je pensais qu’on pouvait le gagner ce match. J’étais confiant car on sortait d’un bon match contre Vevey. Chênois avait aussi des bons résultats mais il y a des séries qui changent pour chaque club.

Il est difficile de se projeter sur le match face au Servette avec un tel écart. Le mot d’ordre sera-t-il de prendre du plaisir ?

Le plaisir, je pense que c’est le but ultime de chaque footballeur de Première Ligue. Il doit y en avoir aussi la semaine à l’entraînement. Après là, c’est une récompense de notre qualification contre Soleure. Ça va leur donner l’occasion d’affronter cette belle équipe de Super League. Il n’y a pas besoin de les motiver davantage. Je n’espère pas que ce plaisir sera à contre-courant et que cela leur fasse peur et qu’on déjoue parce qu’on craint l’adversaire. C’est un peu le souci.

Est-ce que c’est un match où on peut quand même progresser ?

Non je ne pense pas qu’on va progresser. Les joueurs, qui auront l’occasion de jouer, vont apprendre eux-mêmes sur certaines phases de jeu. Puis peut-être dans six mois, ils rejouent un match comme ça et ils vont se souvenir que c’était là le gros niveau. Mais collectivement, cela ne sera pas le cas.