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FCC-Monthey : Pascal Oppliger : « C’est un beau challenge pour nous »

L’entraîneur du FCC Pascal Oppliger se félicite d’affronter le FC Monthey

L’entraîneur du FCC Pascal Oppliger revient sur la très bonne performance de l’équipe face à Köniz et se réjouit d’affronter le FC Monthey.

L’équipe a vite rebondi après la défaite à Concordia Lausanne. Vous devez être satisfait de cette qualification ?

Je suis surtout satisfait du contenu du match. C’est vrai qu’on a perdu à Concordia après une bonne série. C’est très important pour la confiance. On ne cogite pas trop. Cela montre qu’une défaite ne nous plombe pas trop. Nous l’avons surtout prouvé en première mi-temps qui était de bonne facture. La deuxième mi-temps a été gérée. Nous avons pu faire des changements pour faire jouer un peu tout le monde. Il y a eu trois buteurs différents. Nous avons concédé peu d’occasions.

Il y a eu la manière mais ouvrir vite le score a sans aussi doute facilité la suite du match…

Ça aide toujours. Après le premier but aide si on arrive à le faire fructifier. Là, on voulait commencer fort. C’est ce qu’on a fait durant le premier quart d’heure. J’avais dit à l’équipe de presser très haut. Nous avons pris des risques car Köniz jouait avec un système à cinq défenseurs et on allait presser les trois défenseurs. S’ils avaient trouvé les solutions, on aurait pu être embêté. On a mis ce but qui a fait du bien mais ce qui a surtout fait du bien, c’est le deuxième puis le troisième avant la mi-temps. A 1-0, cela va vite dans le foot. On peut vite se faire égaliser. L’autre équipe prend de la confiance. 1-0 permet de mener et les deux autres de confirmer. Celui de la 44ème est décisif. 2-0 à la mi-temps, ce n’est pas non plus idéal parce que l’équipe a eu un quart d’heure pour ajuster. L’équipe, qui revient sur le terrain, n’est jamais la même et si elle marque le 2-1 tout ce qu’on a fait pendant 45 minutes s’effondre vite. Le 3-0 est assez solide et tranquille même si ce n’est pas gagné.

Vous aviez dit avant que vous préfériez affronter une plus grosse équipe. C’est un peu ce qui s’est passé ?

On ne va pas dire que Köniz était une très grosse équipe. C’était une équipe correcte du groupe 2 qui prenait peu de buts mais qui en marquait peu aussi. Je pense qu’on a une équipe actuellement voire sur toute la saison qui n’a pas assez d’expérience ou assez de qualité pour gérer tous les matchs. Quand je dis : gérer des matchs, ce sont des petites équipes. C’est pour ça que je préfère jouer des gros parce qu’on peut se mettre à niveau. Si on est un peu supérieur à une équipe, on n’a pas forcément les moyens de le montrer. Köniz, pour moi, était une grosse équipe avant le match. Mais après le match, je ne peux pas dire que c’était une bonne équipe mais on a fait aussi une bonne performance. C’est peut-être pour ça aussi qu’ils n’ont pas été très forts.

C’est un gros du championnat qui se déplace à la Charrière. Monthey est très régulier. Comment voyez-vous la rencontre ?

Je me réjouis d’affronter cette adversaire, qui est en tête du championnat si on enlève les M21 de Servette. Je les ai vu jouer. C’est comme un Vevey avec moins de qualités individuelles. Le collectif est très très fort. Ils ont des gros gabarits. Plusieurs joueurs peuvent marquer. Ils ont un jeu soit de transition soit de possession. C’est un beau challenge pour nous.